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Parution : Le tome trois d’Hunger Games sortira en france le 5 Mai 2011 !

hunger games 3Comme annoncé dans le titre, le troisième et dernier tome de la série Hunger Games sortira en France le 5 Mai 2011. Pas plus

En attendant, vous pouvez feuilleter en ligne le catalogue de l’éditeur Pocket Jeunesse, très fournit en nouveautés et en livres de fonds de qualité : Catalogue Pocket Jeunesse.

Site officiel de la série (en anglais) : The Hunger Games

Enfin, sachez qu’un film est prévu pour fin 2011, début 2012 : à suivre de très près.

Actualité éditoriale : Soirée Ga’Hoole, rétrospective !

Ga hoole affiche filmBonjour et bienvenue, aujourd’hui nous allons parler de la soirée Ga’Hoole organisée par Pocket Jeunesse le 19 Octobre dernier à l’occasion de la sortie au cinéma de l’adaptation des trois premiers tomes de la série fantastique.

Le rendez-vous avais lieu dans un cinéma connu de Paris : le Mac-Mahon, et beaucoup de surprises nous attendaient, tout particulièrement la venue des auteurs des Petites Poules (voir dans l’article suivant), mais aussi et surtout un visionnage en avant-première du Royaume de Ga’Hoole en 3D !

Le film est un bijou d’animation, avec le réalisateur Zack Snyder aux manettes (Watchmen, 300, l’armée des morts…) qui avait déjà confirmé son savoir-faire. Les visages des chouettes sont surprenants, inattendus et réussis ; mais le mieux ce sont les scènes de ralentis, de toute beauté avec une bande-son tout aussi belles.

ga hoole 01Le personnage de Soren est bien, mais le plus beau le plus mignon, celui qui a fait fondre nombre de coeur, était celui d’Eglantine, la petite soeur de Soren, tout en elle incarne la douceur : son duvet et surtout sa petite voix (la doublure française est une réussite). En bref, le Royaume de Ga’Hoole est une réussite à découvrir, de préférence pour les jeunes tout de même qui seront plus que charmés. Les adultes eux préfèreront les scènes d’humour et la beauté des images ^^  .

Bon  visionnage ! Dès le 27 Octobre.

ga hoole extract movie

Chronique : Fablehaven – Tome 2 – La Société de l’étoile du soir

fablehaven 02J’ai l’immense plaisir de vous présenter le second tome de la saga Fablehaven qui annonce des événements plus sombres encore que le premier. Attention, pour ceux qui n’ont pas lu le premier tome et qui n’ont pas envie d’être spolié, je vous conseille de changer de page, ou d’aller voir l’article concernant le premier tome.

Précédemment, la réserve a été mise en danger par la libération de Muriel, une très dangereuse sorcière qui était prisonnière de Fablehaven, mais derrière cette tentative ce cachait aussi la Société de l’étoile du Soir qui commence à prendre de l’ampleur. Ont découvre que Fablehaven n’est pas la seule réserve de créatures magiques, qu’il y en a plusieurs à travers le monde. Mais dans ce second tome, son importance et sa différence par rapport aux autres sera expliquée.

Dans ce second tome, qui démarre sur les chapeau de roue, à l’école de Kendra et Seth mais pas de façon normale… un nouvel élève vient d’arriver dans la classe de Kendra, mais il est loin d’être normal, il est recouvert de pustules et de croutes écœurantes, a une langue noire et un sourire torve ça n’est pas un être humain mais un gobelin : une créature pleine de malice et de mauvaises intentions. Le problème c’est que tout le monde le voit comme un adolescent normal et même plutôt beau garçon, seule Kendra voit sa véritable forme, elle n’a plus besoin de boire de lait magique pour voir les créatures enchantée depuis qu’elle a été embrassée par les fées et bénie par leur reine.

Pour ce débarrasser de cette créature qui commence à leur empoisonner la vie en jetant par exemple un sortilège à une professeure, ils vont trouver le moyen de s’en débarrasser en volant une statuette : celle d’Olloch le Glouton, sorte de divinité sacrée pour les gobelins.

Cette statuette mystérieuse va se révéler déterminante pour la suite, mais je n’en dit pas plus. Sachez juste que cette fois la Société de l’étoile du Soir va tout faire pour voir s’écrouler la réserve de Fablehaven. Vous découvrirez de nouvelles créatures, telles que Le Sphinx, des narcoblix (créatures qui s’abreuvent du sommeil des gens) et autres monstruosités.

L’intrigue avance, fascine, jusqu’à la dernière page qui ne donne qu’une envie, se jeter sur le troisième tome, qui ne sort malheureusement qu’en octobre !

Encore une fois, la couverture est magnifique et recèle plein de mystères, elle représente la petite statuette d’Olloch le Glouton.

A lire dès 12 ans jusqu’à 3000 ans.

9/10

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TRANCHE d´ÂGE :

Chronique : Fils-des-brumes – Tome 1 – L’empire Ultime

fils_des_brumes_01Une saga addictive qui renouvelle le genre avec talent.

Bienvenue dans le monde étrange et fascinant de Vin, voleuse insignifiante de son état, mais les choses vont changer sous peu, quand elle va rencontrer Kelsier, un bandit connu de tous chez les Skaas. Mais que sont les Skaas exactement ? Eh bien ce sont des êtres humains tout à fait normaux, à la seule différence qu’ils sont exploités par les nobles de l’Empire Ultime, lui-même contrôlé par le Seigneur-Maître.

Et qu’est-ce que l’Empire Ultime ? C’est un monde triste, gris, toujours recouvert des cendres des quatre volcans constamment en activités. Voila pour une représentation succincte du décor.

Mais la force de cette nouvelle série n’est pas dans son décor, ni même dans l’exploitation riche de ses personnages mais dans le nouveau genre de fantasy que Brandon Sanderson vient de créer. On en voyait déjà les prémisses avec Elantris, où l’auteur avait eu l’idée de créer une nouvelle forme de magie vivant à travers des arcanes à dessiner dans l’air. Mais cette fois, l’auteur s’est surpassé avec l’allomancie (qui n’a aucun rapport avec la voyance) et la ferrochimie.

Les 700 pages et quelque que fait le roman tournent autour de cette science, sorte de mélange entre magie, alchimie et sciences qui nous révèlent de plus en plus de surprises au fil des pages. Mais je vous laisse découvrir cette partie technique par vous-même, car trop complexe à expliquer en quelques lignes.

Pour en revenir à l’histoire, les personnages sont assez stéréotypés, avec un brigand qui veut renverser l’Empire Ultime avec un optimisme et un égo démesuré, et en parallèle, Vin, plus que sceptique, mais qui va quand même se retrouver embarquée dans l’histoire. Heureusement, on oublie assez facilement ce petit désagrément largement compensé par des intrigues foisonnantes, et de nombreux rebondissements.

Ce roman ce dévore assez vite une fois dedans, et les 700 pages ne sont vraiment pas un frein à la lecture, bien au contraire. En somme, j’ai été ravie de découvrir cette nouvelle saga en trois tomes, la suite sera au rendez-vous en courant de fin d’année, j’en tremble d’impatience…

Brandon Sanderson, un auteur qui monte, et qui  déjà été publié chez Orbit pour Elantris, mais aussi chez Mango, pour la jeunesse avec Alcatraz et les infâmes bibliothécaires.

La trilogie de Fils-des-brumes a aussi de grandes chance d’être adapté au cinéma (source : Orbit France), apparemment un script serait en cours d’écriture, pour plus d’informations, je vous laisse lire la suite de l’article publié sur le site de l’’éditeur Français Orbit.

PS : un grand bravo à l’illustrateur de couverture Chris McGrath, qui est magnifique ! Avez-vous remarqué que le personnage de Vin a les traits de Nathalie Portman ?

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TRANCHE d´ÂGE : ,

Actualité éditoriale : Castelmore, un nouvel éditeur de littérature fantastique pour les adolescents !

CastelmoreFaisons donc les présentations : Castelmore, nouveau label de Bragelonne destiné aux adolescents, va publier en octobre prochain des romans de Fantasy et de fantastique/ bit-lit destinés aux 12 ans et plus.

Pour l’instant, on sait encore peu de choses, hormis le fait que la maison sera dirigée par Barbara Bessat-Lelarge.

En attendant d’en savoir plus, je vous propose une petite liste des futures publications de Castelmore, qui risque de concurrencer les autres éditeurs déjà présents sur le marché, notamment Albin Michel Wizz, Black Moon, ou encore les éditions Baam complètement spécialisées en fantasy jeunesse. Espérons que cette nouvelle naissance dans le monde de l’édition apportera quelques surprises et un renouveau dans le monde du fantastique adolescent qui s’essouffle avec une saturation de romans bit-lit peu convaincants, affaire à suivre de près, très près !

Octobre 2010 : 

Novembre 2010 :

Janvier 2011 :

Apparemment, peu de one shot pour le moment, en attendant, vous pouvez toujours vous balader au gré de vos envies sur le site d’une des séries, Vampire Academy, avec un site très soigné.

Chronique Jeunesse : Fablehaven – Tome 1 – Le sanctuaire secret

fablehaven 01Une nouvelle série pour la jeunesse qui mêle efficacement mythologie et aventure. 

Voici une nouvelle saga de fantasy pour la jeunesse, mais aussi pour adultes rêveurs : Fablehaven. L’histoire commence quand Seth et Kendra s’en vont dans la maison de leurs grands-parents pour les vacances, mais leur venue semble bouleverser les habitudes de vie de leur grand-père, quand à leur grand-mère, elle reste mystérieusement invisible, prétendument malade…

Les instructions très strictes de leurs grand-père sont tout aussi mystérieuses : ils n’ont pas le droit de sortir du jardin et de s’aventurer dans le bois, tout comme il leur est prohibé de boire le lait déposé au bord des bois destiné aux insectes… étranges instructions que Seth va se dépêcher d’enfreindre par tout les moyens mettant à jour les secrets du domaine de son grand-père (tout en risquant sa vie) : Fablehaven, réserve pour créatures magiques et dangereuses.

Déjà beaucoup de questions sans réponses dans ce premier tome : l’ambiance auréolée de mystère des 200 premières pages est un vrai régal, en particulier les indices que Kendra décrypte pour découvrir certains faits intrigants. La magie est complètement au rendez-vous ; vous découvrirez des trolls, des satyres et d’autres créatures bien plus dangereuses telles que des démons et des sorcières malveillantes. L’histoire est vraiment originale et nous emporte dès le début, les mythologies du monde entier sont exploitées à merveille pour servir l’intrigue, j’ai passé un très bon moment à la lecture de ce premier tome qui n’est en fait qu’une mise en bouche et où l’on voit se dessiner l’intrigue de fond avec une mystérieuse confrérie : la Société de l’étoile du Soir… que vous découvrirez plus en détails dans le second tome.

Notons au passage la magnifique couverture que nous offre Nathan, représentant la sorcière Muriel et les nœuds magiques qui l’emprisonne. Enfin, dernière nouvelle fraîche, Fablehaven devrait être adapté au cinéma par le producteur Avi Arad (X-Men, Hulk…), affaire à suivre !

A lire de 12 ans jusqu’à 3000 ans.

Voir aussi :

Chronique : Robin – Le Roi Corbeau – Tome 1

Robin t01 Le roi corbeauVoici le premier tome de la saga du roi corbeau écrit par Stephen Lawhead (auteur de la saga de Pendragon entre autres choses), il est donc connu et reconnu dans le domaine de la fantasy historique.

La fantasy historique est une branche du genre que je n’avais encore jamais explorée, et qui se défini comme étant (dixit wikipédia) : une œuvre qui se fonde sur des faits historiques en y incluant des éléments de fantasy. Les dates, personnages et lieux concordent mais des éléments de fantasy sont présents (magie, créatures surnaturelles).

Bran, héritier du trône de l’Elfael a tout perdu : son père, sa famille, son peuple, son trône… Depuis des siècles, l’histoire de Robin des Bois et de sa bande de voleurs a captivé l’imagination de millions de personnes. Aujourd’hui… la légende renaît. XIe siècle, Angleterre. Depuis l’arrivée des envahisseurs normands, les Celtes ont été repoussés dans les montagnes du Pays de Galles. Traqué comme un animal, Bran ap Brychan, héritier du trône d’Elfael, a été contraint d’abandonner le royaume de son père pour se réfugier dans la forêt des Marches, des bois primitifs où le danger rode…

Dans « Robin », il faut avouer que je n’ai vu que de l’historique pour le moment, hormis un passage avec une sorcière-chaman-druide. Peut-être la suite de la saga comportera-t-elle des éléments de fantasy plus marquants.

Pour ce qui est du roman en lui-même, c’est le premier livre d’Orbit qui ne m’a pas plu, et ce pour plusieurs raisons : tout d’abord, j’ai été quelque peu déçue par le fait que la saga ne soit pas très fidèle à l’Histoire, en effet, géographiquement Stephen Lawhead s’est permis quelques petite libertés emmenant Robin au Pays de Galles, vous ne verrez donc pas la fameuse forêt de Sherwood… (Mais l’auteur explique son point de vue sur la légende de Robin des bois et la raison pour laquelle il a changé quelques points de l’histoire).

Mais pour moi, le point le plus négatif reste celui du temps que l’on met à « entrer dans le livre », il m’a fallu en atteindre la moitié pour commencer à être réellement intéressée par les diverses intrigues qui se forment autour de la conquête du royaume par les Normands. Les chapitres alternent entre Bran, le futur Robin des Bois, et les autres personnages tels que le baron Neufmarché, ou De Braose. Et personnellement, ce sont justement les passages conflictuels entre les barons envahisseurs et le peuple qui lutte pour sa survie qui m’ont le plus plu, bien plus que ceux avec Bran, qui même s’il est le personnage principal, n’est pas le plus intéressant.

En conclusion, un roman qui ne m’a pas réellement déçue, on peux presque dire « je m’y attendait » : il faut avouer que la légende de Robin des Bois a été tellement de fois revue et corrigée qu’il est dur de renouveler le mythe sans le dénaturer, c’est pourquoi la note de ce livre est tout de même dans la moyenne.

6/10

EDITEUR :
TRANCHE d´ÂGE :

Chronique : L’épée des Ombres – Tome 1 – Le piège de glace blanche

epee des ombres 01 piege de glace blanche« Les Maleterres. Un lieu hostile, figé dans un éternel hiver. »

Nous voici plongés dans un univers de fantasy qui a le mérite d’être original, (les mondes gelés étant peu exploités dans le genre), J.V. Jones va se surpasser tout le long de ce premier tome pour nous faire ressentir ce froid glacial, cruel et omniprésent qui régit les vies des tribus des Maleterres, mais aussi des villes fortifiées, plus au Sud.

Il m’est difficile de vous donner un réel avis sur ce livre car je le considère comme une grosse introduction de 400 pages. On passe d’un personnage à l’autre au fil des chapitres, ont découvre leur faiblesses, leur pouvoirs, mais l’intrigue en elle-même ne commence à apparaître qu’à la fin du livre, avec un lot de questions très nombreuses.

C’est ainsi que l’on se retrouve immergé dans le monde de J.V. Jones : tout commence par des descriptions des différents clans et peuplades des Maleterres : le clan Dhoone, le clan Budd et d’autres encore, tous en rivalité, même à l’intérieur de leur propre camp, où les fratricides, violences de toutes sortes sont devenues choses communes. Mais n’allez pas croire que dans les grandes villes du sud les gens sont plus civilisés que ces peuples… tout ces êtres humains sont mauvais (ou presque), tous se battent pour une parcelle de pouvoir et cela au dépend des autres, en particulier d’Ash, la fille adoptive de Penthero Iss, le haut seigneur d’une forteresse, qui ne comprend pas pourquoi elle est si choyée et menacée à la fois…

En conclusion, je vous conseille se livre ne serait-ce que pour la beauté de ces descriptions du monde glacial des Maleterre, car tout tourne autour de ce froid mortel. Aucune erreur n’est permise à ses habitants, une simple écorchure pouvant vite se transformer en quelque chose de beaucoup plus grave. Et même s’il faut avouer que j’ai eu beaucoup de mal à lire la première moitié du livre qui traînait un peu, cela en valait le coup, mais la lecture du second tome sera décisive pour convenir de façon certaine de la qualité de cette saga. Une chose est sûre en tout cas, J.V. Jones a laissé bien trop de portes ouvertes et de mystères pour que l’on puisse laisser tomber la saga au bout du premier tome !

AUTEUR :
GENRE : Fantasy
EDITEUR :
TRANCHE d´ÂGE :

Chronique Jeunesse : Brave petit grille-pain

brave petit grille-pain

Un roman destiné à la jeunesse totalement « bêtifiant »

Il est des fois où le titre d’un livre croisé par hasard vous fait sourire… : c’est ce qui s’est passé pour moi avec « Brave petit grille pain » de Thomas M. Disch, et la seule question que l’on peut se poser en finissant ce livre est ; « Mais pourquoi a-t-il été édité ? ».

Notre « aventure » sensée divertir dès l’âge de 7 ans commence dans une petite maison de campagne où un grille pain, une couverture chauffante, une lampe, un aspirateur et un réveil sont livrés à eux-mêmes : leur maître a disparu depuis plus d’un an !

C’est donc très inquiets pour leur propriétaire qu’ils décident de partir à l’aventure pour le rejoindre dans sa maison principale, à la ville afin de savoir de quoi il retourne.

Nos accessoires électriques plein de ressources se munissent alors d’une batterie et s’en vont. S’en suit une suite bien pénible de déboires : un dialogue surprenant avec une famille écureuils, un séjour à la casse, une traversée en bateau… désastreux. D’un bout à l’autre ce livre est plat, et je ne pense pas qu’avoir 7 ans change beaucoup la qualité de ce livre et de son histoire, sans parler des nombreux jeux de mots absurdes tels que « le réveil fut mis au courant », « la nouvelle électrisa nos chers appareils », ou encore « vous brûlez ma chère, dit le grille-pain ».

La bonne nouvelle, c’est que ce livre est épuisé, et donc introuvable dans le commerce (sauf d’occasion bien entendu). Ce livre a tout de même le mérite de prouver une chose : tout le monde ne peut pas écrire de livres pour la jeunesse.

Anecdote : Ce livre a été adapté en film d’animation pour enfants sous le nom : Le petit grille-pain courageux  (The Brave Little Toaster to the Rescue) – Incroyable mais vrai.

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Chronique album jeunesse : L’arche de Lulu

L'arche de Lulu C’est le déluge !

Lulu Vroumette, très inquiète, part à la recherche de ses amis dans la forêt.

Que va-t-il leur arriver si la rivière sort de son lit en pyjama ?

Bienvenue dans le monde beau et poétique de Lulu Vroumette, une petite tortue avec des minis couettes. Les dessins sont arrondis, rendant les personnages mignons et doux, que ce soit Lulu et sa carapace qui lui sert de barque de fortune, le rossignol prénommé Chante-faux ou encore Rien-ne-sert le lapin, tous sont attachants. Mais quand on voit les albums suivants, on se rend compte que le dessinateur (Fréderic Pillot) n’avait pas encore trouvé la forme finale de Lulu, qui est devenue très belle au fil du temps.

De plus, le texte est vraiment génial (par Daniel Picouly, excusez du peu) ; plein de rimes et de clins d’œil divers qui feront le bonheur des petits et des grands réunis.   

En somme un bon petit livre, même si ça n’est pas mon album préféré de Lulu Vroumette, la saga entière est chouette de toute façon.