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Chronique Jeunesse : Fablehaven – Tome 1 – Le sanctuaire secret

fablehaven 01Une nouvelle série pour la jeunesse qui mêle efficacement mythologie et aventure. 

Voici une nouvelle saga de fantasy pour la jeunesse, mais aussi pour adultes rêveurs : Fablehaven. L’histoire commence quand Seth et Kendra s’en vont dans la maison de leurs grands-parents pour les vacances, mais leur venue semble bouleverser les habitudes de vie de leur grand-père, quand à leur grand-mère, elle reste mystérieusement invisible, prétendument malade…

Les instructions très strictes de leurs grand-père sont tout aussi mystérieuses : ils n’ont pas le droit de sortir du jardin et de s’aventurer dans le bois, tout comme il leur est prohibé de boire le lait déposé au bord des bois destiné aux insectes… étranges instructions que Seth va se dépêcher d’enfreindre par tout les moyens mettant à jour les secrets du domaine de son grand-père (tout en risquant sa vie) : Fablehaven, réserve pour créatures magiques et dangereuses.

Déjà beaucoup de questions sans réponses dans ce premier tome : l’ambiance auréolée de mystère des 200 premières pages est un vrai régal, en particulier les indices que Kendra décrypte pour découvrir certains faits intrigants. La magie est complètement au rendez-vous ; vous découvrirez des trolls, des satyres et d’autres créatures bien plus dangereuses telles que des démons et des sorcières malveillantes. L’histoire est vraiment originale et nous emporte dès le début, les mythologies du monde entier sont exploitées à merveille pour servir l’intrigue, j’ai passé un très bon moment à la lecture de ce premier tome qui n’est en fait qu’une mise en bouche et où l’on voit se dessiner l’intrigue de fond avec une mystérieuse confrérie : la Société de l’étoile du Soir… que vous découvrirez plus en détails dans le second tome.

Notons au passage la magnifique couverture que nous offre Nathan, représentant la sorcière Muriel et les nœuds magiques qui l’emprisonne. Enfin, dernière nouvelle fraîche, Fablehaven devrait être adapté au cinéma par le producteur Avi Arad (X-Men, Hulk…), affaire à suivre !

A lire de 12 ans jusqu’à 3000 ans.

Voir aussi :

Chronique : Reine de Mémoire – Tome 1 – La maison d’Oubli

Reine de mémoire 01La Maison d’Oubli, premier tome d’une saga sensée être passionnante, j’ai du passer à côté de quelque chose, car je n’ai trouve le livre ni magique, ni passionnant.

Notre histoire est une uchronie qui se passe en France, mêlant magie et religion s’étant développées très différemment de ce que nous connaissons (jusque là rien d’anormal, c’est le principe de l’uchronie). Mais le livre est tout simplement indigeste, sur les presque 800 pages du roman, il ne se passe quasiment rien, et, chose rare, je me suis sentie obliger d’arrêter cette lecture que j’ai trouvée trop lente.

Le livre est rempli de descriptions, trop. Nos deux personnages principaux Senso et  Pierrino, qui vivent chez leur grands-parents veulent percer les mystères de la maison où ils habitent, mais aussi ceux de leur grand-mère qui est très étrange : elle ne sort jamais, ne parle jamais et interdit à tout le monde d’entrer dans ses appartements. Ça n’est qu’au milieu du livre que le monde de cette étrange grand-mère nous est quelque peu révélé par l’auteur à force d’indices rares et peu passionnants.

Entre temps, les jumeaux ont découvert un autre mystère de la maison, elle a une fenêtre de plus qu’elle ne devrait en avoir, y aurait-il une pièce cachées ? C’est ce qu’ils projettent de découvrir au bout de 300 pages… le pire c’est que l’on ne sait pas trop ou cette lecture nous mène, on suit l’histoire sans tout comprendre et sans être réellement pris par la lecture, et ça ne donne que quelque chose de très décevant. C’est pourquoi j’ai arrêté le livre à la moitié. Peut-être suis-je passée à côté de quelque chose, mais je n’ai vraiment pas compris l’engouement autour de ce livre considéré par certains comme « une des œuvres majeures de l’heroïc fantasy »…

En tout cas, le premier tome est sorti en  poche en 2007, c’est-à-dire il y a trois ans, Livre de Poche n’a pas l’air de vouloir éditer la suite de la saga… Ce livre a toutefois reçu Le prix Boréal.

3.5/10

GENRE : Fantasy
TRANCHE d´ÂGE :

Chronique : L’école des chats – Tome 2 – Le cadeau magique

ecole des chats 02Second tome de la saga, et déjà on s’essouffle ; toujours à la recherche de « l’élu » de la prophétie, nos chats essayent de rendre tant bien que mal l’aventure captivante. On reste dans l’expectative tout le long du livre, et même si c’est censé convenir à un enfant de 9 ans, je ne trouve pas l’histoire satisfaisante.

L’aventure  avance tout de même, avec quelques découvertes intéressantes, comme par exemple la découverte des circonstances de la naissance d’une mandragore (sorte de plante douée de vie et de parole, son cri ayant la  propriété de tuer), elle naît à partir d’une pousse de ginseng vieille de plus de 1000 ans ! Du moins dans la légende asiatique, car son origine mystérieuse varie selon les pays et les mythologies…

On découvre aussi un peu plus les différentes magies qui existent, et comment nos chats vont les faire plier à leur volonté…ou non. L’école des chats quand à elle est encore pleine d’énigmes, mais pas de quoi rendre fou de curiosité.

Pour conclure, ce tome est sympathique, mais tout juste, on est pas près de s’évader vers un autre monde avec… mais ça reste correct pour 9 ans ; c’est simple et original, et les illustrations qui parsème l’œuvre sont belles.

Chronique manga : Scott Pilgrim – Tome 1 – Precious Little Life

scott-pillgrim-01Ou comment un phénomène outre-Atlantique et primé par beaucoup me reste incompris.

Pour la petite anecdote, quand mes collègues libraires et moi avons vu le livre dans les cartons, nous avons étés curieux, car on nous avait présenté l’ouvrage comme « un phénomène », puis on l’a feuilleté et là, rien ne va plus : sur les trois libraires que nous sommes et qui l’avons lu, aucun de nous n’a compris l’engouement qui s’est développé autour de Scott Pillgrim.

Cette bande-dessinée-roman-graphique-manga a un succès incompréhensible : tout d’abord, je trouve les graphismes franchement peu attirants, le trait est grossier, mais passons, si encore l’histoire peux rattraper le tout… eh bien non. L’intrigue est très simple, un jeune homme tombe amoureux d’une fille, mais pour vivre cet amour pleinement, il devra d’abord prouver sa valeur en battant les sept ex-petits copains de la belle demoiselle. Voila. C’est tout.

Je me suis quand même forcée à lire en entier le premier tome de la série (qui comptera 6 tomes) afin d’avoir peu être une explication sur sa réussite. Malheureusement je ne peux émettre que des hypothèses (tout lecteur ayant apprécié Scott Pillgrim est vivement invité à partager ses impressions sur le blog, il serait très plaisant de faire un petit débat là-dessus), tout d’abord, l’auteur, Bryan Lee O’Malley a mélangé les genres et styles, on oscille entre le manga (le noir et blanc) et le roman graphique (le trait peu recherché, qui essaye de se donner un style sans être forcément très marquant) peut-être est-ce pour séduire un plus large lectorat.

Ensuite, il y a toutes les petites références à des jeux vidéo, telles qu’une pièce qui tombe quand il a battu un ennemi (Super Mario), ou les coups qui sont comptés (à l’image de Street Fighter) qui ne sont pas très drôles, même d’un point de vue « geek ».

Scott Pilgrim insideJ’ai en fait l’impression que l’auteur a mélangé le plus de genres possible pour plaire au plus grand nombre possible, avec en fond une histoire d’amour, et l’affaire est dans le sac : ça marche. Affaire à suivre tout de même, la vague Scott Pillgrim n’atteindra peut-être pas la France, nous verrons. D’autant plus qu’un film adapté de la série va bientôt sortir en milieu d’année : Scott Pillgrim VS the World.

En tout cas, très grand fan de Scott Pillgrim, ou pas, n’hésitez pas à donner vos impressions sur cet article afin de faire avancer les explications sur le succès de la série. Le tome 2 sortira le 11 juin 2010.

Bonus : un petit extrait inédit de la série à lire en ligne

2/10

Chronique : Les Domestiques

domestiquesUne lecture décevante qui promettait tellement plus….

Quand j’ai vue la couverture de ce livre, je me suis dit « oh, c’est joli, ça donne envie de le lire » car il faut avouer que les couvertures des livres de fantastique et SF, ne sont pas toujours sublimes et que Bragelonne et Milady ont le mérite de faire un vrai travail graphique. Enfin tout ça pour dire que c’est la couverture qui m’a motivée à lire le livre, ainsi que la 4ème couverture qui résumait une histoire intéressante : grave erreur. Les domestiques de Michael Marchal Smith restera une de mes plus grosses déceptions de l’année, et ce pour plusieurs raisons.

Tout d’abord, on s’attend à du fantastique historique, prenant, mystérieux : il n’en est rien, aucune référence à l’Histoire, à peine quelques références aux méthodes de travail de l’époque. De plus, le livre regorge de platitudes et de paragraphes inutiles. L’écriture ne fait pas rêver, et il faut attendre au moins la moitié du livre pour commencer à s’apercevoir qu’il ne se passera rien de plus que ce que l’on a déjà lu. La quatrième de couverture parle d’un bouleversement dans la vie de notre héros, Mark, il n’en est rien. La vie de Mark est triste, d’autant plus que sa mère a une maladie très grave (que l’on suppose être un cancer). Les conflits familiaux sont omniprésents, tellement que les fameux « domestiques » sensés tout de même tenir le premier rôle sont très peu présent, la magie n’est même pas au rendez-vous.

Vous l’aurez compris, j’ai été très déçue par cet ouvrage qui semblait très prometteur, espérons que Milady saura éditer de meilleurs ouvrages que celui-ci.

2/10

EDITEUR :
TRANCHE d´ÂGE :

Chronique jeunesse : Draculivre – Tome 1 – Le Buveur d’encre

le buveur d'encre - draculivre 01« Papa est libraire. Il adore les livres. Il les dévore. C’est un ogre. Il lit toute la journée et parfois même la nuit. C’est une maladie incurable mais ça n’a pas l’air d’inquiéter notre médecin de famille. »

Bienvenue dans la petite librairie du coin, celle du papa d’Odilon. Odilon n’aime pas les livres : il ne comprend vraiment pas la motivation de tout ces gens qui viennent dans la librairie, et encore moins la frénésie de lecture qu’a son père pour ces feuilles de papier assemblées entre elles. Alors, pour passer le temps, Odilon observe les clients de la boutique, jusqu’au jour où un « client » bien étrange fait son apparition : il ne marche pas vraiment, il flotte au-dessus du sol ; il ne feuillette pas vraiment les livres, ni ne les lis, on dirait plutôt qu’il les boit…

C’est dans cette ambiance feutrée et surnaturelle qu’Odilon décide d’en savoir plus sur ce mystérieux lecteur. A lire dès 6 ans comme première lecture avec ses parents ou tout seul, « Le buveur d’encre » est un bon livre jeunesse qui nous fait voyager entre réel et fantastique. Utilisant des mots simples et nouveaux pour les enfants permettant d’enrichir leur vocabulaire, c’est une vraie initiation au plaisir de la lecture que nous offrent Eric Sanvoison (auteur) et Martin Matje (illustrateur), nous plongeant dans les livres, à l’image de l’œuvre de Gudule : La Bibliothécaire.

Les phrases sont simples, mais regorgent de poésies, de jeux de mots qui glissent au fil des pages. Les illustrations sont quand à elles complètement dans l’esprit du livre. C’est un vrai coup de coeur, à mettre entre toutes les petites mains dès 6 ans et jusqu’à 9 ans maximum, voir plus, car les adultes aussi prennent du plaisir à lire la série Draculivre.

9/10

Chronique Jeunesse : Brave petit grille-pain

brave petit grille-pain

Un roman destiné à la jeunesse totalement « bêtifiant »

Il est des fois où le titre d’un livre croisé par hasard vous fait sourire… : c’est ce qui s’est passé pour moi avec « Brave petit grille pain » de Thomas M. Disch, et la seule question que l’on peut se poser en finissant ce livre est ; « Mais pourquoi a-t-il été édité ? ».

Notre « aventure » sensée divertir dès l’âge de 7 ans commence dans une petite maison de campagne où un grille pain, une couverture chauffante, une lampe, un aspirateur et un réveil sont livrés à eux-mêmes : leur maître a disparu depuis plus d’un an !

C’est donc très inquiets pour leur propriétaire qu’ils décident de partir à l’aventure pour le rejoindre dans sa maison principale, à la ville afin de savoir de quoi il retourne.

Nos accessoires électriques plein de ressources se munissent alors d’une batterie et s’en vont. S’en suit une suite bien pénible de déboires : un dialogue surprenant avec une famille écureuils, un séjour à la casse, une traversée en bateau… désastreux. D’un bout à l’autre ce livre est plat, et je ne pense pas qu’avoir 7 ans change beaucoup la qualité de ce livre et de son histoire, sans parler des nombreux jeux de mots absurdes tels que « le réveil fut mis au courant », « la nouvelle électrisa nos chers appareils », ou encore « vous brûlez ma chère, dit le grille-pain ».

La bonne nouvelle, c’est que ce livre est épuisé, et donc introuvable dans le commerce (sauf d’occasion bien entendu). Ce livre a tout de même le mérite de prouver une chose : tout le monde ne peut pas écrire de livres pour la jeunesse.

Anecdote : Ce livre a été adapté en film d’animation pour enfants sous le nom : Le petit grille-pain courageux  (The Brave Little Toaster to the Rescue) – Incroyable mais vrai.

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TRANCHE d´ÂGE :

Chronique : Trilogie de Bartiméus – Tome 3 – La Porte de Ptolémée

bartiméus 03Attention à toutes et à tous, voici venue la fin de la Saga de Bartiméus de Jonathan Stroud qui a frappé très fort avec ce dernier tome. Tout s’enchaîne, se précipite et s’entremêle…les plébéiens sont de plus en plus immunisés face à la magie et ses diverses manifestations, les magiciens quand à eux sont en mauvaise posture, Nathaniel y compris, car nombreux sont ceux à vouloir a chute.

C’est dans cette ambiance très joyeuse qu’est à nouveau invoqué notre djinn préféré : Bartiméus, toujours flanqué de son cynisme habituel et de sa mauvaise volonté face à ses maîtres. Mais ce troisième tome est très différent sur bien des points, il est synonyme d’espoir aussi bien pour l’humanité que pour tout les démons invoqués à travers les siècles… et une chose très intéressante nous est offerte à nous, lecteur : le passé de Bartiméusoù l’on comprend certaines de ses actions dans les précédents tomes, et aussi son caractère aussi pessimiste envers la nature humaine…

Beaucoup travaillé au niveau de la psychologie de nos trois personnages principaux : Kitty, Nathaniel, Bartiméus, ce dernier livre est pour moi le meilleur, de par ce qu’il apporte comme messages, d’autant que l’on peux transposer certains faits à notre monde actuel : les richesses aux mains d’une toute petite minorité et la lutte pour la survie pour les autres etc… Bien entend, il y a certains éléments qui sont prévisibles et j’ai justement eu peur que l’auteur tombe dans quelque chose de trop « banal », mais il a réussi un magnifique tour de force pour sa fin de saga qui pour moi est parfaite. Une fois fini, ce livre donne un sentiment d’espoir, et fait réfléchir.

En conclusion, un très bon livre pour une très bonne saga qui mérite d’être lue. Espérons que l’auteur a fait quelque chose d’aussi original et intéressant avec sa nouvelle saga elle aussi chez Albin Michel Wiz : Les Héros de la Vallée.

 9.5/10

GENRE : Fantasy
EDITEUR : ,
TRANCHE d´ÂGE :

Chronique : Triskellion – Tome 1

triskellionWelcome to Triskellion ! Une petite bourgade cachée au fin fond de l’Angleterre où rien ne se passe… ou du moins c’est que ses habitants voudraient nous faire croire. Rachel et Josh, suite au divorce de leurs parents sont envoyés chez leur grand-mère à Triskellion.

Dès le début, les jumeaux sentent qu’ils ne sont pas les bienvenus dans la petite ville : agressés par de mystérieux adolescents, rues vide de tous habitants, comme une invitation à… partir, vite et loin.

L’atmosphère d’inquiétude et de danger plane sur le lecteur tout le long du livre rendant souvent stressante la lecture de ce premier tome de la trilogie. Car les jumeaux vont faire des découvertes dérangeantes pour la tranquillité du village aussi bien dans les bois que sous terre et même dans quelques vieilles habitations… l’histoire n’est pas géniale et manque tout de même de faits historiques intéressants, on manque trop peu d’informations pour être vraiment subjugués. Encore un roman avec une énième prophétie…et un énième objet légendaire à débusquer pour découvrir la vérité. Rien qui ne mérite qu’on si attarde.

Quand à la fin du premier tome, je ne la trouve pas assez percutante pour donner envie de lire la suite, qui sort le 10 Septembre prochain. En somme, ce « thriller » jeunesse est tout juste divertissant, et j’ai bien peur qu’il ne suffise pas à éveiller l’intérêt aussi bien des ados (qui sont la cible principale) que des adultes.

Dommage, les cinquante premières pages étaient vraiment prometteuses, dans un ton vraiment dérangeant, effrayant même, surtout par une nuit d’orage…

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Chronique : Mon petit mari

Mon petit mariÉtrange histoire que celle de Mon petit mari, qui nous expose à un amour peu commun : celui d’un homme d’un mètre soixante (Léon) avec une femme de plus d’un mètre quatre-vingt (Solange)… les têtes se tournent sur leur passage, mais ils n’en ont cure. Les amis de la femme s’affligent de la voir avec un si petit homme alors qu’elle pourrait avoir les plus beaux et les plus grands hommes à ses pieds… mais elle s’en fiche !

Jusqu’au jour où… Léon se met à rétrécir ! L’écart entre eux se creuse… et leurs enfants ont de plus en plus de mal au fur et à mesure qu’ils grandissent à reconnaitre l’autorité de leur petit père.

C’est ainsi que l’on plonge dans un mélange bizarre entre vie de couple et fantastique pour le meilleur et surtout pour le pire : le début du livre est vraiment intéressant mais tout part en vrille dès lors que Léon rétréci. L’auteur s’est laissé emporté dans des délires parfois louches pour ne pas dire carrément malsains (en particulier les passages montrant le peu d’autorité que possède Léon sur ses enfant, ou encore les moyens qui font qu’il a d’autres enfants après avoir rétréci). Et plus on avance dans le livre plus les personnages sont cruels envers le personnage principal, trop cruels pour être réaliste.

La majorité du roman est une mauvaise blague qui donne un intense sentiment de déception au lecteur croyant avoir fait une bonne affaire… dommage, le début était si bien parti… peut-être qu’à force de vouloir être original Pascal Bruckner s’est-il égaré.

3/10

TRANCHE d´ÂGE :