Chronique : Fahrenheit 451

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Ce livre, bien entendu n’est plus à présenter. Je viens de le terminer, et je me rend compte que j’aurais dû le lire avant, il est génialement fait. Le concept du roman est surtout ce qui en fait une œuvre culte : la culture n’a plus sa place dans notre futur, car elle crée des inégalité entre les personnes, les rendant jalouses entre elles, et montrant les noirceurs de l’âme humaine. La façon dont Ray Bradbury nous décrit cette ère de non-culture est effrayante, la télévision est la maîtresse de ce futur, mais elle n’est pas sur un unique pan de mur comme dans notre époque : ici elle recouvre les quatre murs, elle est les quatre murs… on assiste ici à une régression de l’humanité qui s’interdit la culture, ceux qui veulent résister risquent tout.

Le personnage principal est pour le moins intéressant, tiraillé par son devoir et son désir d’ouvrir un livre… Un autre personnage intéressant, mais surtout terrifiant par sa sournoiserie est le chien robot des pompiers, vous verrez pourquoi.

AUTEUR :
EDITEUR : ,
TRANCHE d´ÂGE : ,

4 réflexions au sujet de « Chronique : Fahrenheit 451 »

  1. Méta

    Ah ce livre ! On ne s’attend pas vraiment à ça quand on l’ouvre pour la première fois et au final on est vraiment pas déçu ! Je comprends que tu le recommande à tes visiteurs !

  2. Méta

    Ah ce livre ! On ne s’attend pas vraiment à ça quand on l’ouvre pour la première fois et au final on est vraiment pas déçu ! Je comprends que tu le recommande à tes visiteurs !

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