Si vous avez aimé le premier tome de la saga, je pense que la suite vous fera au moins autant plaisir ! Divisé en deux énormes parties, le livre a beau être volumineux, il n’est jamais ennuyeux !
Pour vous retracer l’histoire, à la fin du premier tome, Ayla est bannie du Clan par Broud, qui vient de succéder à Brun son père et ancien chef de la tribu.
Ainsi, Ayla est obligée d’abandonner son fils, ses amis, et tout ceux qu’elle aime dans le clan à cause de la haine d’un seul envers elle. Elle part donc va devoir prendre sa nouvelle vie en main. Seule, elle va devoir subvenir à ses besoins.
Ainsi, elle va devoir trouver une grotte où passer l’hiver et surtout : un nouveau but dans sa vie, sous peine de dépérir. Le nouveau but qu’Ayla s’est fixé sera de retrouver « les Autres », ces gens qui sont comme elle.
Voici le début de l’histoire du second tome en espérant que l’envie de lire est là. Vous verrez la lutte quotidienne d’Ayla pour survivre en chassant seule, de plus, ses affinités avec les animaux se sont énormément développée et la sauverons plus d’une fois.
Mais le meilleur de ce livre reste pour moi la découverte de son propre peuple et ses nouveaux sentiments face à « l’émissaire ».
La saga des Enfants de la Terre nous prouve qu’elle n’est pas simplement une belle histoire, mais aussi des années d’études et de documentations faites par J.M. Auel qui a réussit à nous donner un mélange de plaisir et de culture sur notre histoire.
7/10
ah que cette serie est bien!
malgré l’epaisseur du roman, il ce lit bien, et est accrocheur.
je laisserai la prose a quelqu’un de plus doué que moi, mais j’ai vraiment aimé ce livre, ainsi que toute la serie.
aaaah ça fait plaisir de pas être toute seule à les avoir lus et appréciés ! d’ailleurs, si tu en trouve du même style et de la même qualité, tu me le dit, hein ! bisous !
Bonnes sélection de livres intéressants, dont la saga des aventures d’Ayla, personnage très intéressant et riche de significations.
Une assistante sociale du paléolithique.
Malgré les répétitions et lourdeurs du récit, Ayla doit être un « modèle » pour beaucoup de jeunes filles.
Sa « Muta »: la dame à la capuche…mon premier amour.
Il m’arrivait, lorsque j’étais élève d’un centre d’apprentissage de chaudronnerie rue de la Salle (depuis on dit collège technique) , de sauter des heures d’étude pour parcourir la terrasse de St Germain lorsqu’il faisait beau, et lorsque la pluie ne le permettait pas, de visiter le musée de St Germain en Laye avec quelques copains.
La dame à la capuche nous a profondément marqués et depuis, nous prenions avec des pincettes ce qu’on nous enseignait sur nos lointains ancêtres, et par extension tout ce qu’on nous enseignait. C’était avant 1968.
J’ai retrouvé dans les romans de JM Auel le charme de cette dame (à l’époque guère mise en valeur, perdue parmi les silex).
Je suis très critique sur l’œuvre historique et littéraire de JM Auel, mais ce qu’elle fait vivre à son héroïne me charme malgré tout.
De nombreux détails varient d’un tome à l’autre dans les Enfants de la Terre ( les rappel de l’auteur ne correspondent plus) Par ex: Ayla portée sur la hanche par Isa dans « le clan de l’ours des cavernes » et sur son dos dans « les refuges de pierre »
Des incohérences ; « …les lourds épis » (des céréales) se balancent au gré du vent au début du printemps…chez les Mamuthoïs et d’autres absurdités m’incitent à la plus grande prudence vis à vis du « savoir » de l’auteur.
Que cela ne décourage pas les jeunes ou non de lire cette saga, ils y trouveront un souffle épique que tout le monde ne ressent pas mais qui marque les « élus ».
Bonnes lectures