Archives de l’auteur : Laura

Chronique : Evernight – Tome 1

evernight 01Une histoire d’amour impossible sur fond de vampirisme…

Premier tome d’une trilogie de bit-lit pour adolescentes, Evernight est le croisement improbable entre la romance de Shakespeare et la légende des vampires.

Dans un lycée aux allures sinistres…

L’ambiance a le mérite d’être bien retranscrite : Bianca, jeune fille d’une quinzaine d’année débarque dans l’institut d’Evernight. Ecole pour jeunes gens issus de familles aisées, Evernigh est une académie existant depuis des siècles ; longs couloirs de pierre, alcôves sombres, grande salle remplie de vitraux : l’ambiance gothique est là et ça fonctionne.

Ce qui marche un peu moins en revanche, c’est la romance entre Bianca et Lucas. Beaucoup trop prévisible et surtout peu creusée le « flirt » des deux jeunes gens entre vite dans le stéréotype de l’histoire d’amour compliquée avec un incessant jeu du chat et de la souris…

Le chamboulement d’une vie bien réglée

En milieu de récit, un tournant décisif dans l’histoire survient pour Bianca. Il aurait pu rendre le roman beaucoup plus passionnant si seulement ce virage avait été traité de façon plus judicieuse. Toutefois on se laisse entraîner par cette découverte avec plus ou moins d’enthousiasme.
Sans être extrêmement développée, l’intrigue est là, et on a quand même envie de connaître le fin mot de l’histoire…

En conclusion, Evernight est un roman à l’atmosphère sympathique mais à l’histoire décevante car trop prévisible et attendue. Malgré ces quelques gros défauts, l’histoire se laisse lire. Cette romance gothique plaira aux amatrices de vampires et de passions, mais sans laisser une trace marquante dans l’esprit du lecteur…

PS : Le gros défaut du livre est pour moi sa couverture, elle donne à la conception un côté « amateur » et surtout ne donne pas envie d’être curieux quand à l’histoire…dommage.

Chronique : Quatre filles et un jean – Tome 1

quatre filles et un jeanQuatre bouts vies complètement différents, un fil conducteur :    LE jean.

            Quatre filles est un jean est avant tout une histoire d’amitié, de rencontres, d’émotions nouvelles. La vie de ces jeunes filles n’a absolument rien d’extraordinaire, bien au contraire. Elles doivent leur amitié à leur mères qui se sont connues toutes les quatre à un cours d’accouchement. Au fil des ans les enfants sont devenues amies, leur mères se sont éloignées l’une de l’autre. Voici une courte présentation de ces « Quatre filles ».

Carmen vit très mal le divorce de ses parents et ne voit pratiquement plus son père ; Tibby elle est introvertie, réservée et très timide ces traits de caractère lui portent parfois préjudice dans la vie ; Bridget est l’image même de la fille canon, elle sait ce qu’elle veut et parvient toujours à ses fins même si ça n’est pas toujours pour son bien ; Lena est certainement la plus « normale », mais son voyage en Grèce dans sa famille va la changer…

Le fil de l’histoire c’est LE jean, qui va être le témoin de leur histoire : aventures, sentiments, désarroi. Chacune son tour, une des filles poste le jean à l’autre et l’accompagne d’une lettre. Voilà le concept.

Ce premier tome (sur quatre au total) est vraiment une bonne découverte. La vie de chacune de ces filles normales et hors du commun à la fois est captivante, on meurt d’envie de savoir ce qu’il va advenir par la suite. Le bout de vie qui m’a le plus touchée est celui de Tibby, qui contre toute attente va agir face à une situation des plus difficiles, c’est aussi celle dont l’histoire a réussi à me tirer quelques larmes…

Si un livre arrive à vous faire ressentir et vivre les émotions de ses personnages, c’est que c’est une merveille. Car si on lit, c’est pour se sentir autre, partir ailleurs pour un temps, voyager. Quatre fille et un jean est une merveille, merci Ann Brashares.

Chronique Jeunesse : L’homme qui a séduit le soleil

l'homme qui a séduit le soleilA la découverte de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière

C’est par des chemins détournées que nous allons rencontrer Molière, car notre  personnage principal est en fait un jeune garçon prénommé Gabriel qui ne rêve que d’une chose : travailler dans le monde du théâtre, être comédien.

Une rencontre inattendue

Tous les jours, Gabriel se rend au Pont-Neuf où il joue de courtes pièces improvisées afin de gagner son pain du jour. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que Molière l’observe, intéressé par son jeu de scène, sa façon d’être. Il va ainsi se présenter à un Gabriel complètement abasourdi qui ne croit pas à sa chance.

Mais le métier auquel aspire Gabriel cache de nombreuses difficultés sous les paillettes et les rires mondains.

Du dur apprentissage de la vie

C’est ainsi que commence l’aventure de Gabriel qui va être pris dans la troupe de Molière en tant que… moucheur de chandelles. Sa mission peut paraître simple, mais il est de son devoir qu’aucune bougie qui éclaire la scène ne s’éteigne et à la fin d’un acte il doit couper la mèche de chacune d’entre elles.

Une fois encore, Jean-Côme Noguès se sert d’une histoire simple mais efficace comme prétexte pour découvrir une période phare de l’histoire. Le monde du théâtre est ici décrypté, et montré sous un nouvel angle parfois très cruel.

Une des particularités des romans de Noguès sont ses fins, très douces-amères qui savent toucher juste : L’homme qui a séduit le soleil n’y fait pas exception. Une histoire agréable pour lire l’histoire, dès 11 ans.

Petit plus, un bon dossier assez important est consacré au contexte historique du livre. Le règne de Louis XIV, le bannissement puis l’emprisonnement à perpétuité de Nicolas Fouquet y sont expliqués. Vous y trouverez aussi une explication de ce qu’est la commedia dell’arte et quelles sont les différentes formes prises par le théâtre, le métier d’amuseur, les parades du Pont-Neuf etc…

Chronique : Le monde englouti

le monde engloutiL’homme contre la nature : qui survivra ?

J.G. Ballard est un auteur de science-fiction d’origine anglaise, il a écrit plusieurs romans post-apocalyptiques dont le monde englouti, qui fait partie du quatuor apocalyptique avec Sécheresse (publié originellement avec Le Monde Englouti aux Editions Denoël, collection Lunes d’encre), Le vent de Nulle part (renié, car considéré comme un roman purement alimentaire par Ballard lui-même et donc épuisé dans toutes ses diverses éditions) et la forêt de cristal. L’intégrale de ses nouvelles vient d’être réédité il y a peu en trois tomes aux éditions Tristram (le dernier est sorti fin 2010).

Crash ! Reste son roman le plus connu et surtout celui qui l’a rendu célèbre.

Si les océans montaient…

Le postulat : Le soleil a subit pour une raison inconnue plusieurs mutations et déformations, celles-ci ont alors entrainé des explosions solaires ayant des répercussions cataclysmiques pour la Terre (et surtout pour la race humaine). Les pôles ont fondus et la planète devient de moins en moins habitable au fil des mois, la température moyenne dans la journée avoisine les cinquante degrés Celsius.

C’est ainsi que nous découvrons le biologiste Robert Kerans, un des derniers hommes à être resté dans les lagunes pour étudier la flore qui a proliféré, tout envahi depuis la catastrophe. Mais au fil du temps, il ne sait plus s’il reste pour ses résultats scientifiques ou pour autre chose…

Vers une évolution régressive de l’homme ?

La chaleur pesante de l’astre, la lourdeur de l’atmosphère sont retranscrits avec précision. On ressent toute la difficulté de faire le moindre geste pour nos personnages en souffrance permanente. Le personnage principal, Robert Kerans se retrouve face à une remise en question quotidienne de sa condition humaine : chaque nuit supplémentaire le fait plonger dans des rêves étranges, primaires, malsains ils sont communs à tout les êtres humains qui peuplent encore la planète depuis qu’il y a eu les éruptions solaires.

Dans cette ambiance de fin du monde, l’homme le plus normal est fort tenté de retourner aux sources, de n’écouter que ses bas instincts,  son cerveau reptilien qui s’éveille (comme en témoigne le personnage de l’homme en blanc) ; après tout il n’y a plus de loi, plus de règles : la société comme nous l’avons connue ne sont plus, on assiste impuissant à la dégénérescence du genre humain. Plus qu’un changement pour la planète, c’est aussi une nouvelle évolution de l’homme à laquelle on assiste, Ballard nous forçant à l’interrogation : et nous, que ferions-nous ? Que sommes-nous ?

Le monde englouti est un roman post-apocalyptique que l’on se doit de lire si l’on est fan du genre, mais délicat d’accès au non-initiés ; l’ambiance lourde et étouffante pourrait décourager certains lecteurs. Ce roman de J.G. Ballard soulève toutefois des questions qui méritent d’être posées, sur la nature humaine, sur ce qui fait de nous des hommes, et mérite donc qu’on le découvre.

Cette chronique a été rédigée pour le site Actusf.

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Les 39 clés : une nouvelle série jeunesse lancée par Rick Riordan !

39 clés 01

Rick Riordan n’a pas fini de faire parler de lui cette année, avant même l’annonce de la sortie d’une nouvelle saga parallèle à Percy Jackson qui sort en Mai, voici la sortie d’une nouvelle série jeunesse dont le premier tome est écrit par Riordan : Les 39 clés.

A lire dès 9-10 ans, cette série en 10 tomes raconte l’histoire d’un frère et d’une soeur : Dan et Amy, qui viennent d’apprendre une terrible nouvelle ; leur grand-mère vient de mourir et leur laisse un bien étrange testament où il est question d’énigmes et de mystères et d’une étrange chasse aux 39 clés…

La saga commence en février et sera présente tout au long de l’année avec de nouvelles sorties. Et très prochainement, la chronique des deux premier tome de la série sur le blog.

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GENRE : Jeunesse
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Chronique : Marina

marinaUn nouveau roman signé Carlos Ruiz Zafon, écrit avant l’ombre du vent.

Carlos Ruiz Zafón, auteur espagnol connu en France grâce à ses deux publications pour adultes : L’ombre du vent et Le jeu de l’ange. Il revient cette année avec Marina, écrit en 1999 ; le roman a la particularité de sortir dans deux éditions différentes, une pour adultes chez Robert Laffon et une pour la jeunesse (dès 12 ans) chez Pocket Jeunesse. Une fois encore le personnage principal du roman n’est autre que la ville de Barcelone…

Dans une Barcelone onirique et nostalgique

Tout commence avec le jeune Oscar Drai, garçon vivant en pensionnat. Il aime se balader dans les rues désertes de la ville, explorer ses coins secrets… mais un jour, au détour d’une rue, il va tomber sur une maison à l’abandon ou presque, et rencontrer Marina. C’est ainsi que commence une aventure mais aussi une investigation qui va les mener loin, trop loin.

Une histoire fantastique à la frontière du roman noir

Dans une ambiance digne du fantôme de l’opéra et de Frankenstein, Oscar nous plonge dans une enquête qui a fait couler beaucoup d’encre il y a des décennies à Barcelone. Meurtres, complots, manœuvres douteuses tout cela va être exhumé, disséqué par nos deux curieux.

Les mystérieuses créatures animées créées par Zafón on le don d’instaurer une ambiance plus que lugubre, l’écriture est implacable, sinistre. C’est d’ailleurs cette ambiance et l’écriture poétique de l’auteur qui font le réel charme de ce livre, plus encore que l’histoire.

Parallèlement à l’enquête, l’histoire de Marina est développée, on comprend ainsi pourquoi elle vit seule avec son père et la raison pour laquelle elle affectionne tant la solitude… une histoire douce-amère de toute beauté.

En conclusion, Marina est un roman sympathique mais pas marquant, cependant la plume de l’auteur ne peut que plaire et ses « histoires dans l’histoire » révèlent tout le potentiel de ce récit qui aurait pu être, je pense, plus développé.

Quoi qu’il en soit, Marina plaira forcément aux lecteurs de Zafón, mais aussi à tout amateur de littérature avec un soupçon de fantastique.

Territoires : la nouvelle collection de romans noirs de Fleuve Noir pour les ados-adultes…

logo-territoiresUne nouvelle collection visant les 15-25 ans (voir plus grands) va voir le jour dès le 7 avril 2011chez l’éditeur Fleuve Noir. Cette nouvelle branche de romans sera spécialisée dans la bit-lit, la fantasy urbaine, le fantastique ou le thriller voir tout cela à la fois.

Les premiers titres de la collection verrons donc le jour très bientôt, cinq publications au total sont prévues pour cette année 2011. Voici la liste des titres ainsi que leur date de publication.

7 Avril 2011

Juin 2011

Septembre 2011

Octobre 2011

  • Mortilège (Blake Charlton)

Moi jennifer strange derniere tueuse de dragonsDans les titres prometteurs, deux en particuliers m’ont interpellée ; le premier, Un blog trop mortel qui raconte l’histoire d’une jeune fille prénommée Allisson Hewitt vivant recluse suite à l’invasion des Infectés. Son blog est son seul moyen de communication vers l’extérieur, elle y raconte comment elle affronte le chaos au jour le jour… Un roman apocalyptique très tentant.

Le second livre qui me tente est Mortilège, qui conte l’histoire du jeune Nicodème, un jeune surdoué dans le domaine de la magie son seul « petit » souci, c’est qu’il est dyslexique… Le concept de base a l’air vraiment sympathique, affaire à suivre en octobre !

En bref, des titres qui promettent et très bientôt des chroniques sur les romans de Territoires.

Lien : Site de Fleuve Noir qui annonce la collection.

 

Chronique : Le faucon déniché

le faucon dénichéUne amitié interdite entre un jeune garçon et un faucon

Jean-Côme Noguès est un auteur français de romans historiques pour la jeunesse il est anciennement enseignant. Publié en 1972, Le faucon déniché est l’une de ses œuvres les plus connues, elle est d’ailleurs très souvent étudiée dans les écoles.

Une période cruelle pour les gens dits « modestes »

Bienvenue au Moyen-âge, une époque bien particulière où être simple paysan ou fils de bucheron n’ouvre à aucun droit sinon celui de vite se retrouver dans une geôle à la moindre vague. Et c’est le risque que Martin décide d’encourir s’il est découvert… car depuis quelques semaines il vit une fabuleuse histoire d’amitié avec un faucon. Le seul problème, c’est que seuls les seigneurs on le droit s’en posséder.

Une amitié improbable est née

En principe, des années de travail sont nécessaires pour savoir apprivoiser ces rapaces dangereux et imprévisibles que sont les faucons. Mais Martin, lui, réussit à gagner la confiance de l’animal avec une rapidité déconcertante. Mais son amitié met chaque jour en danger lui-même mais aussi sa famille…

Vers une découverte vivante du moyen-âge

Cette histoire entre le faucon et le jeune homme est certes le cœur de l’histoire, mais celle-ci n’est qu’un prétexte pour faire découvrir aux jeunes lecteurs (dès 11 ans) le moyen-âge et les conditions de vie qui y régnaient. L’injustice criante à laquelle ont affaire les gens du peuple face à un noble riche et puissant sans pouvoir rien y faire.

Jean-Côme Noguès nous dépeint ici une période cruelle par bien des côtés, mais qui est aussi d’une magnificence unique. Ce roman m’a beaucoup plu, jusqu’à la dernière phrase, qui nous laisse un sentiment doux-amer… magnifique.

8/10

Chronique : The Agency – Tome 2 – Le crime de l’horloge

the agency 02Un retour dans l’Angleterre victorienne où les femmes luttent dans l’ombre…

Une année après le premier tome des aventures d’espionne de Mary Quinn en France, l’auteur Y.S. Lee récidive avec le second tome de l’Agency. Dans une ambiance mystérieuse d’Angleterre au XIXème siècle où les femmes ne peuvent guère être autre chose que servantes, femmes de chambre ou bonne épouse…

Une nouvelle mission pour Mary Quinn

Notre apprentie espionne du Pendentif de Jade a mûri depuis la dernière fois, elle a désormais plus de dix-huit ans. Sa formation ayant pris fin, ses maîtresses la juge apte pour une mission de haut vol : espionner le chantier du beffroi (le futur Big Ben) afin d’y élucider la série de morts inexpliquées qui y ont lieu depuis quelque temps. Certains pensent que c’est le fantôme du beffroi qui en est la cause, d’autres que ces disparitions servent de noirs desseins…

Une immersion dans un monde très masculin

Pour élucider le mystère du beffroi, Mary n’a d’autre choix que de se déguiser en garçon car l’univers dans lequel elle va tenter de s’introduire est exclusivement masculin.

Magouilles et pots-de-vin sont omniprésents sur le chantier, mais à peine suspecte-t-on un personnage qu’un autre apparaît et nous fait douter tout autant. L’histoire nous est contée du point de vue de Mary, ce qui est très intéressant. Sa vision des choses en tant que jeune femme dans se siècle met en lumière les inégalités de l’époque entre les sexes.

Toujours sous tension, le lecteur n’aura pas une minute à lui, d’idées en découvertes on suit la trace évanescente du « fantôme » avec plaisir et surprise. Mais en plus de la mission, Mary va se retrouver confrontée à des personnages du précédent tome qu’elle n’était censée ne jamais revoir…

En bref, The Agency, est fort plaisant à lire pour se plonger dans la Londres de l’époque, l’ambiance retranscrite est parfaite : entre le fog de la capitale et les rues pavées. L’enquête quand à elle est intéressante, mais la capitale (personnage à part entière) m’a beaucoup plus séduite. A lire dès 12 ans.

Cet article a été écrit pour le site ActuSF

Chronique Jeunesse : Le ver, cet inconnu

le ver cet inconnu couvertureA la découverte d’une créature fascinante…

 Publié originellement sous le titre The Little Worm Book, ce très court roman de Janet et Allan Ahlberg est à lire en tant que première lecture, vers l’âge de 6-7ans, publié anciennement aux éditions folio benjamin ce titre est actuellement épuisé. Il traite avec beaucoup d’humour de cette charmante créature et de ses aptitudes hors du commun.

Un guide à l’usage des apprentis éleveurs de vers

Vers qui rapportent des timbres à leur maitre, qui jonglent avec des petits pois (cf image ci-dessous) et pleins d’autres choses encore, les capacités d’apprentissage de cette petite bête sont illimitées ou presque !

Mais ça n’est pas tout d’avoir un ver de compagnie, il faut aussi savoir s’en occuper et le soigner quand ce dernier et malade… c’est pourquoi il y a une petite liste de tout les maux qui peuvent l’atteindre : insolation, nœuds, maladie du néon, cas d’hallucination ou le vers se prend pour un crayon ou une baguette de pain…etc.

le ver cet inconnu photo 01Ne sous-estimez pas les vers de terre

En plus des informations pratiques et parfois loufoques sur les vers, vous découvrirez aussi les différentes espèces de vers, ils sont tous différents de part le monde ! (cf image ci-dessous), mais aussi leur histoire, des hommes préhistoriques à aujourd’hui.

La conclusion de cet ouvrage, écologique et tournée vers l’avenir nous explique à nous adultes l’utilité des vers pour la terre qu’ils oxygènent en creusant de petits tunnels. Ce livre est un vrai coup de cœur, rempli d’humour et de facéties, il a bercé mon enfance, je ne me lasse pas de le lire encore. Conclusion : aimez le ver !

PS : Pour ceux qui souhaiteraient trouver ce livre désormais épuisé, il y a les bibliothèques (de vraies mines d’or) ou pour l’acheter, rien de mieux que les brocantes en comptant sur la chance ou encore Amazon.fr où il est à des prix très raisonnables.