Quatre bouts vies complètement différents, un fil conducteur : LE jean.
Quatre filles est un jean est avant tout une histoire d’amitié, de rencontres, d’émotions nouvelles. La vie de ces jeunes filles n’a absolument rien d’extraordinaire, bien au contraire. Elles doivent leur amitié à leur mères qui se sont connues toutes les quatre à un cours d’accouchement. Au fil des ans les enfants sont devenues amies, leur mères se sont éloignées l’une de l’autre. Voici une courte présentation de ces « Quatre filles ».
Carmen vit très mal le divorce de ses parents et ne voit pratiquement plus son père ; Tibby elle est introvertie, réservée et très timide ces traits de caractère lui portent parfois préjudice dans la vie ; Bridget est l’image même de la fille canon, elle sait ce qu’elle veut et parvient toujours à ses fins même si ça n’est pas toujours pour son bien ; Lena est certainement la plus « normale », mais son voyage en Grèce dans sa famille va la changer…
Le fil de l’histoire c’est LE jean, qui va être le témoin de leur histoire : aventures, sentiments, désarroi. Chacune son tour, une des filles poste le jean à l’autre et l’accompagne d’une lettre. Voilà le concept.
Ce premier tome (sur quatre au total) est vraiment une bonne découverte. La vie de chacune de ces filles normales et hors du commun à la fois est captivante, on meurt d’envie de savoir ce qu’il va advenir par la suite. Le bout de vie qui m’a le plus touchée est celui de Tibby, qui contre toute attente va agir face à une situation des plus difficiles, c’est aussi celle dont l’histoire a réussi à me tirer quelques larmes…
Si un livre arrive à vous faire ressentir et vivre les émotions de ses personnages, c’est que c’est une merveille. Car si on lit, c’est pour se sentir autre, partir ailleurs pour un temps, voyager. Quatre fille et un jean est une merveille, merci Ann Brashares.
J’adorais ce livre quand j’étais au collège, je trouvais qu’il représentait assez bien la vision de l’amitié qu’on a à cette age là et les questions que l’on se pose…
Je trouve que cinq ans après la lecture est toujours aussi agréable 🙂